Posts Tagged ‘Caroline MOUREAUX’
« M »… le magnifique !
Pour moi, c’était LA presta de l’année.
Parce que bluffée suite à sa première venue au Phare en 2009, je n’ai cessé de suivre son actualité. Les échos et la presse disait de médiocres choses sur cette dernière tournée, ce dernier album. Je n’ai pas souhaité les écouter afin de me faire ma propre opinion… oh que j’ai bien fait !
La même énergie, la même passion, le même goût de cette transmission du plaisir.
Génialissime et grandiose ! L’homme en coulisse à l’allure pépère et hagard, se transforme une fois les pieds sur scène. Un véritable Gremlins qui passé l’heure, devient une véritable bête de rock ! Une traversée de salle en porté de foule sans interrompre les riffs de guitare… je suis bouche-bée.
Un show explosif, déjanté, festif et ultra-communicatif… J’M !
Le Phare pris d’Assaut
Le Phare était complet hier soir avec 5100 spectateurs venus prendre une cure de Rap distillée par le groupe français incontournable du moment : Sexion d’Assaut.
Un public jeune mais surtout très motivé. Certains étaient présents dès 16h devant les portes pour bénéficier des meilleures places et approcher ainsi la bande du Wati B.
Dès leur arrivée dans les lieux, les chanteurs sont accessibles et ont besoin de détente : c’est un panier de basket monté au milieu de la salle qui déchargera les accus et la pression d’avant concert. Quelques dribbles plus tard, la première partie entre en scène : The Shin Sekaï , la dernière recrue du label Wati B.
Puis, vient le tour de Sexion d’Assaut. Cris stridents et bras en l’air. Le concert a été une succession de tubes repris en chœur dans une ambiance survoltée et surchauffée.
Clowneries…
C’est en ce moment même sous chapiteau ! Courez-y !
Le Chapiteau Théâtre Compagnie a installé une nouvelle fois son chapiteau au Carré Curial de Chambéry pour monter une des œuvres les plus connues du poète et écrivain roumain Matéi Visniec : Petit boulot pour vieux clown.
Réunis par hasard après des années de séparation pour répondre à une annonce d’embauche, Nicollo, Filippo et Peppino attendent d’être reçus. Ces vieux clowns autrefois amis se remémorent alors le temps de leur « splendeur », et évoquent les souvenirs communs et les rêves partagés. Mais la joie des retrouvailles fait bientôt place à la rivalité car le théâtre n’offre qu’un « poste de vieux clown »… Dans cet espace « sans fenêtre », nous voici confrontés à la petitesse humaine : querelles, trahisons et coups bas…
La vieillesse semble prisonnière de cet espace clos. En témoignant de l’heureuse époque qu’ils peuvent aujourd’hui seulement envier en écoutant la fanfare du cirque passée au loin, Visniec fait écho à sa propre vie et nous montre bien la frustration de l’artiste vivant sous la censure communiste. Matéi Visniec quitta effectivement sa Roumanie natale en 1987 en demandant l’asile politique en France.
Lucia Pozzi, qui était déjà à la baguette de « La Cantatrice Chauve » l’an passé, offre à ses spectateurs une mise en scène dont elle a le secret : entre rires et larmes. On en ressort chamboulé et partagé par le cynisme d’un monde de rivalités toujours d’actualité, mais le plaisir, ultime, de ces 3 clowns à jouer ensemble.
Du 26 mars au 7 avril, sous chapiteau (Carré Curial)
Du mardi au samedi à 20h30, le dimanche à 17h.
Port du casque obligatoire
Suivi de chantier et constitution des archives photographiques de la réhabilitation de la Maison du Lac par la Communauté de Communes du Lac d’Aiguebelette.
C’est un exercice que j’apprécie particulièrement, car pour l’avoir déjà effectué pour d’autres projets, celui-ci mêle différents aspects que j’affectionne particulièrement. La rencontre humaine en premier lieu : différents corps de métier se croisent, s’entendent, se heurtent pour finalement aboutir à une réalisation commune. Il y a les métiers de terrain : les constructeurs, bâtisseurs, chefs de chantier, élagueurs, paysagistes… et les autres : architectes, administratifs, communicants, élus,… autant de rencontres, de partages, de cafés au coin d’un bureau ou sous une grue, en petite robe-talon ou bonnet, mitaines, nez rougi et vapeur de froid à chaque mot prononcé. Il y a des sourires, des regards, des images. Se faire petite et présente à la fois.
Il y a ensuite, les prises de vues réalisées hebdomadairement.
Le chantier sous tous ses angles : au ras du sol, au sommet d’une grue, du haut d’un point de vue, sur/sous la charpente, depuis le lac, depuis la montagne, à pied, en échelle, en parapente…
Les aléas de la construction, de la météo, mettre la main à la pâte pour faciliter une photographie, un rendu, un service. Un tel projet, or le béton et la ferraille, demande une sacrée coordination humaine pour un bel aboutissement.
Je suis la petite souris sur la chantier, la présence discrète pour les archives… il y a biensûr le rendu photographique, essentiel, mais également ce fourmillement d’individus, les différentes pièces pour que le puzzle soit complet… et réussi.
Pour suivre le chantier, c’est ici !
A suivre…
Je n’aime pas le poisson.
Une fin d’année 2012 en « dents de scie »… il y a des poissons qu’il ne vaut mieux pas croiser lorsque l’on part faire de la plongée sous-marine dans la mer des caraïbes…
Episode un peu rocambolesque, opération du pied la veille d’une prestation, indémnités qui ne suivent pas (les artisans ne sont vraiment pas aidés en France… c’est une parenthèse, et point le sujet de cet article mais il fallait le dire), il y a les clients qui comprennent, et les autres… Des heures de téléphone, de morphine, de téléphone, d’essais de « solutionnage », de téléphone, de collègues qui dépannent, de téléphone, de kiné, de tentative de prises de vues en béquille, de rires, de coups de bourdon, de neige, que dis-je : de montaaaaagnes de neige à franchir en béquille !… bref, fin d’année 2012 et début d’année 2013 avec de beaux imprévus quotidiens.
Tout va mieux, et je peux reprendre un rythme désormais plus normal.
Pendant ce temps-là, je n’ai pas chomé, mais je n’ai pas partagé avec vous mes péripéties photographiques quotidiennes. Je me rattrape.
Il y a les prestations photographiques des évènements du Phare visibles ici, et d’autres beaux projets en cours de finalisation, dont je vous parlerais très prochainement.
Merci aux messages, coups de pouce, clients compréhensifs, belles ondes envoyées de ça et là.
J’ai tout pris, en plein coeur, et je vous en remercie.
Belle suite à nous.
Epoustouflante…
Dans la série, « je ne veux pas que mon amoureux rencontre cette personne », je vous présente Véronic DiCaire…
Elle a tout. Vraiment tout (quoique je suis sûre que son petit orteil droit est un peu déformé… ) !
Un sourire qui illumine son petit minois, la jolie blonde a de l’humour, de l’esprit et même du talent ! Accessible, simple, souriante… avec un petit accent québécois qui ne gâche rien.
Un « one wo-man Show » décoiffant… Une quarantaine de voix en une seule !
En passant de Piaf à Rihanna, son répertoire est large.
Chanter, jouer, faire rire, Véronic DiCaire nous a offert un sepctacle de variété complet et divertissant.
Je suis sous le charme…
« Chéri, tu fais quoi ce soir ?
Tu restes à la maison, hein ?… «
Plus d’images, c’est ici.
Le début de la gloire M’ssieurs-Dames ! ;)
La presse en parle…
La Vie nouvelle – Edition du 15 novembre 2012
En ces couleurs d’automne…
Etats des lieux et recensement photographique des hangars à bateaux des abords du Lac d’Aiguebelette. Selon la météo, c’est agréable, très agréable ou plutôt pénible (à bord du bateau, le crachin matinal contraint à nettoyer sans cesse le matériel). Oui, je suis accompagnée du garde particulier des lieux, pour une découverte privilégiée des abords du lac, vues de l’eau.
Le cadre est magique et somptueux. J’ai un beau métier.
Dans ma benz-benz-benz…
Jeudi 25 octobre, Mercedes-Benz lançait son nouvel utilitaire urbain le Citan, avec une campagne imaginée par l’agence win-win qui a bousculé les codes traditionnels de la communication des véhicules utilitaires.
Le Citan (créé sur la base du Kangoo) se veut un utilitaire compact urbain qui revendique son statut premium (Mercedes-Benz oblige) tant en terme d’image, de qualité, de sécurité que de plaisir de conduite.
Le fameux « Bye bye les fourgonnettes » traduit la volonté de se différencier des autres utilitaires, ramenés justement à de simples « fourgonnettes ». C’est moderne et plein d’humour, avec des choix audacieux et radicaux en termes de design et de couleurs.
Et qui est-ce qu’on appelle pour les images de la soirée de lancement ? C’est Bibi !
Ce n’est pas publiable (respect du choix du client), mais c’est bon pour l’égo. Et la soirée fut fort belle !
Tryo, le retour…
Cela faisait 3 ans qu’on les attendait. Ils avaient promis de revenir suite à leur premier concert au Phare en 2009… promesse tenue, jeudi soir, avec près de 2400 spectateurs qui étaient également au rdv. Une ambiance rock métissé pour le groupe Tryo qui n’a pas pris une ride et n’a pas perdu son caractère festif.
Le public connaît les chansons par coeur et se déchaîne pour montrer sa joie. Plaisir que lui rend bien le groupe, tant celui-ci est à l’aise sur les planches. Tryo récole ce qu’il a semé tout au long de son histoire. Le groupe n’hésite pas à aller rencontrer son public au coeur de la foule grâce à une scène movible. Les rappels n’en finissent pas et Tryo ne veut plus partir : « on est comme à la maison ici » !
Chambéry, « ville de montagnes et de Génépi » comme ils se plaisent à le répéter, est désormais ancré dans le coeur de nos artistes.
Plus d’images, c’est ici !