Posts Tagged ‘Chambéry Métropole’
Epoustouflante…
Dans la série, « je ne veux pas que mon amoureux rencontre cette personne », je vous présente Véronic DiCaire…
Elle a tout. Vraiment tout (quoique je suis sûre que son petit orteil droit est un peu déformé… ) !
Un sourire qui illumine son petit minois, la jolie blonde a de l’humour, de l’esprit et même du talent ! Accessible, simple, souriante… avec un petit accent québécois qui ne gâche rien.
Un « one wo-man Show » décoiffant… Une quarantaine de voix en une seule !
En passant de Piaf à Rihanna, son répertoire est large.
Chanter, jouer, faire rire, Véronic DiCaire nous a offert un sepctacle de variété complet et divertissant.
Je suis sous le charme…
« Chéri, tu fais quoi ce soir ?
Tu restes à la maison, hein ?… «
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Tryo, le retour…
Cela faisait 3 ans qu’on les attendait. Ils avaient promis de revenir suite à leur premier concert au Phare en 2009… promesse tenue, jeudi soir, avec près de 2400 spectateurs qui étaient également au rdv. Une ambiance rock métissé pour le groupe Tryo qui n’a pas pris une ride et n’a pas perdu son caractère festif.
Le public connaît les chansons par coeur et se déchaîne pour montrer sa joie. Plaisir que lui rend bien le groupe, tant celui-ci est à l’aise sur les planches. Tryo récole ce qu’il a semé tout au long de son histoire. Le groupe n’hésite pas à aller rencontrer son public au coeur de la foule grâce à une scène movible. Les rappels n’en finissent pas et Tryo ne veut plus partir : « on est comme à la maison ici » !
Chambéry, « ville de montagnes et de Génépi » comme ils se plaisent à le répéter, est désormais ancré dans le coeur de nos artistes.
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Boulevard des Airs
Petit post consacré à la découverte d’un groupe – Boulevard des Airs – venu le temps d’une 1ére partie investir la scène du Phare.
Une première approche plutôt décontractée à l’arrivée dans les lieux, ça discute, ça sourit, ça s’éparpille… forcément, ils sont une petite dizaine et rassembler la troupe au complet me parait un vrai petit challenge perso. Après un petit rush vidéo, et leurs balances terminées, je prendrais place en devant de scène afin de découvrir davantage ce qu’ils ont « dans le bide » !
Me voilà bien surprise, par une musique « cuivrée », délicieuse et une énergie juste débordante.
La lumière est faible, très faible, trop faible… et les bougres, bon dieu, qu’ils sautillent !!!
Malheur que les prises sont difficiles, mais bonheur : ils donnent. Du sourire, de la chaleur, de l’énergie ! Une vraie bouffée d’air(s)…
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Mickaël… sort de ce corps !
J’ai des tas de reportages à vous faire découvrir…
Mais mon activité photographique va bien, très bien, trop bien… et je n’ai plus le temps de m’occuper de mes canaux de com’ et de partage. Je cours, je cours, je cours… tel un petit furet aux travers de diverses commandes photo, avec une météo capricieuse n’arrangeant pas mes plannifications !
Alors, juste pour vous faire patienter, avant de partager avec vous tout plein de nouveautés, voici la révélation de la soirée de la veille…
Le Thriller live… La célébration du King of the Pop.
Un petit public (700 personnes) mais composé de vrais fans qui sont venus faire revivre la légende.
Dès les premiers morceaux, le public est déjà debout. Le show commence par les Jackson 5 qui entonnent « ABC » avec leur pantalon en pattes d’éléphant, se poursuit par les Jacksons en tenue disco par « Shake your body » pour s’épanouir enfin dans un feu d’artifice sans fin de hits des années solo de la pop star : « Beat it », « Thriller », « Bad », « Billie Jean », etc.
Un spectacle étourdissant de plus de 2 heures réunissant danseurs, chanteurs et musiciens en live pour la célébration de LA légende de la Pop.
Mickaël…
Sort de ce corps !!!
Majestueuse Irlande…

L’espace de toutes vos émotions…
Si la ballade en centre-ville chambérien, annécien, annemassien, albertvillois… (bref, une communication dans les départements de Savoie, de Haute-Savoie, de l’Isère et de l’Ain) … vous dit, en levant les yeux, vous rencontrerez sûrement ceci :
La communication sur les spectacles du 1er semestre 2012 pour le Phare, fraîchement réalisée…
Et si vous préférez, par ce froid de canard, flâner dans votre canapé, vous ne raterez pas cette même création déclinée pour la presse (s’il vous plaît…).
Made in Caroline MOUREAUX herself !…
La mort du cygne…
Tenue de rigueur ce soir au Phare.
Par terre de chaises, chuchotement d’avant spectacle, le ton est donné.
En coulisses, il y a des tutus égarés, des ballerines pendues aux radiateurs, et des corps sportifs qui s’étirent, se concentrent, sourient, et se retirent dans leur silence.
Il y a les premières notes… un orchestre en devant de scène qui nous emporte, que dis-je nous transporte par les notes de Tchaïkovski. Puis les danseurs, danseuses nous ont offert une exécution parfaite de mouvements dans une grâce indéfinissable. Un univers cotonneux… me voici les yeux pétillants d’étoiles, enveloppée dans un cocon de velours.
C’est beau la danse.
Féerique, majestueux, tout juste grandiose.
C’est en fin de spectacle que je me suis aperçue que mon menton s’en était détaché de ma mâchoire…
Grande classe…
PS/ Kiki, rassures-toi, « ta mort du cygne » restera TOUJOURS la plus belle à mes yeux…
Récap’annuelle…
Parce que quelques images valent mieux que de longs discours, le Phare a choisi de faire revivre les émotions de l’année écoulée pour souhaiter ses vœux.
Une petite créa pour compacter tout ça et le tour est joué…
Moralité : se laisser surprendre.
Parce qu’un métier passionnant n’est pas à l’abri des jours « traînent la patte »…
Il suffit d’une nuit non-guérisseuse, d’un coup de bourdon, d’une envie de « aujourd’hui, je reste sous la couette » ou que dis-je, d’une incroyable flemmardise aiguë pour qu’une journée de presta se transforme en une envie soudaine de téléportation dans le passé : « Maman, j’ai une otite, je ne peux pas aller à l’école »…
Oui, sauf que les arrêts maladie n’existent pas pour les entrepreneurs… et que chaque journée non travaillée = tout ça en moins à la fin du mois… et qu’un engagement client EST un engagement client. Point. Pas le choix. Douche bougonne. Café express. Matos sur le dos (aïe, au fait, mon dos). K-way de rigueur (non, ce n’est pas pour le plaisir, il pleut). Ronchonchon. C’est partie…
Il fait froid. C’est humide. Je passe la moitié de mon temps à nettoyer et sécher mon boîtier… Journée grisaille, merdique. Enchaînements de petites galères. Pas si graves mais le cumul fait que tout de suite, c’est beaucoup moins drôle.
Et puis, fin de journée… Arrivée dans le lieu.
Juste envie de faire demi-tour (« je vous assure, j’ai une otite ! »), mais la raison l’emporte et le caprice s’éteint petit-à-petit. Grâce à eux.
De belles surprises. Wahou… de très belles surprises.
Ils sont les lauréats de la 1ére édition du Casting 2011 organisé par le Crédit Agricole des Savoie (qui cela dit au passage a tenu sa promesse : faire émerger des jeunes musiciens savoyards). Et du talent, ce soir, il y en a.
« Benoit Métral » et les « Welling Walrus » (ça, c’est pour la pub !) ont été les gagnants de ce casting. Genres musicales variés, certes… mais une énergie réciproque. L’envie et le plaisir d’être en scène. Et ce plaisir là, ce soir, ils me l’ont partagé. L’otite est soignée, les tympans sont comme neufs et le plaisir de la photographie englobe tout le reste. Choix de cadrage, conditions de lumière variées, énergie à saisir… tout les ingrédients sont là.
Le pied, je vous jure… Le pied !
La soirée s’est terminée par un petit concert privé des Naïve New Beaters… tenue pull jacquard obligatoire.
De la graine de jeunes talents, j’vous dis !