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Port du casque obligatoire
Suivi de chantier et constitution des archives photographiques de la réhabilitation de la Maison du Lac par la Communauté de Communes du Lac d’Aiguebelette.
C’est un exercice que j’apprécie particulièrement, car pour l’avoir déjà effectué pour d’autres projets, celui-ci mêle différents aspects que j’affectionne particulièrement. La rencontre humaine en premier lieu : différents corps de métier se croisent, s’entendent, se heurtent pour finalement aboutir à une réalisation commune. Il y a les métiers de terrain : les constructeurs, bâtisseurs, chefs de chantier, élagueurs, paysagistes… et les autres : architectes, administratifs, communicants, élus,… autant de rencontres, de partages, de cafés au coin d’un bureau ou sous une grue, en petite robe-talon ou bonnet, mitaines, nez rougi et vapeur de froid à chaque mot prononcé. Il y a des sourires, des regards, des images. Se faire petite et présente à la fois.
Il y a ensuite, les prises de vues réalisées hebdomadairement.
Le chantier sous tous ses angles : au ras du sol, au sommet d’une grue, du haut d’un point de vue, sur/sous la charpente, depuis le lac, depuis la montagne, à pied, en échelle, en parapente…
Les aléas de la construction, de la météo, mettre la main à la pâte pour faciliter une photographie, un rendu, un service. Un tel projet, or le béton et la ferraille, demande une sacrée coordination humaine pour un bel aboutissement.
Je suis la petite souris sur la chantier, la présence discrète pour les archives… il y a biensûr le rendu photographique, essentiel, mais également ce fourmillement d’individus, les différentes pièces pour que le puzzle soit complet… et réussi.
Pour suivre le chantier, c’est ici !
A suivre…
En ces couleurs d’automne…
Etats des lieux et recensement photographique des hangars à bateaux des abords du Lac d’Aiguebelette. Selon la météo, c’est agréable, très agréable ou plutôt pénible (à bord du bateau, le crachin matinal contraint à nettoyer sans cesse le matériel). Oui, je suis accompagnée du garde particulier des lieux, pour une découverte privilégiée des abords du lac, vues de l’eau.
Le cadre est magique et somptueux. J’ai un beau métier.